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grand remplacement - Page 8

  • Rennes : Malgré le chômage de masse, Sciences Po scolarise prioritairement des clandestins afin de leur « ouvrir le marché de l’emploi » !

     

     

    Conformément à sa politique agressive de remplacement de la population bretonne par des masses du tiers-monde, le gouvernement français, via l’Institut d’études politiques de Rennes, a ouvert une promotion spécialement dédiée aux migrants clandestins musulmans !

    Russia Today (source) :

    23 migrants ont rejoint les bancs de Sciences Po Rennes après l’ouverture d’une promotion qui leur a été spécifiquement dédiée. Les élèves migrants suivent ainsi depuis le 30 janvier un parcours très différent de celui de leurs camarades. En effet, le cursus porte essentiellement sur l’apprentissage de la langue française afin de leur permettre une meilleure intégration dans le monde du travail. Cette promotion est ouverte exclusivement aux migrants titulaires d’un diplôme du baccalauréat.

    On notera que malgré les plus de 200,000 chômeurs en Bretagne, la priorité pour Paris est d’accorder quantités de facilités aux allogènes venus coloniser la terre bretonne.

     

  • Sauf changement, les Blancs minoritaires d’ici 2060 en France avec 30 millions de musulmans..

    France : Sauf changement, les Blancs minoritaires d’ci 2060 avec près de 30 millions de musulmans

     
     
     
     

     

    (source) :

    Si l’on ajoute les deux générations (immigrés et enfants d’immigés), cela donne un total de 13,5 millions, soit 20,4 % de la population. On a donc un peu plus d’un habitant sur cinq d’origine étrangère sur deux générations en 2015. On aimerait, ce qui n’est pas bien difficile à faire, que l’Insee donne la même information sur la France métropolitaine, pour laquelle j’ai fait trois estimations plus anciennes (1986, 1999, 2011), ce qui permettrait de donner une idée de l’évolution. Si l’on ramène les chiffres de l’Insee à la France métropolitaine, on a, à peu près, 13,2 millions de personnes d’origine étrangère sur deux générations (soit 20,5 %), à comparer à 12,1 millions quatre ans plus tôt et 9,8 millions en 1999, soit 19,2 % en 2011 et 16,8 % en 1999. La population d’origine étrangère sur deux générations aurait donc augmenté de 9 % entre 2011 et 2015, contre 2,6 ‰ seulement pour les natifs au carré.
    Ce premier constat appelle plusieurs remarques.

    En premier lieu, toutes les personnes considérées comme immigrées – nées de parents nés à l’étranger – ne sont pas nécessairement d’origine extra-européenne. Un certain nombre d’entre eux proviennent d’autres pays européens.

    Ces chiffres ensuite n’intègrent pas les 3ème et 4ème générations d’immigrés, une lacune importante. Ils ne comportent pas non plus les migrants extra-européens des possessions coloniales françaises des Antilles, de Polynésie ou de Nouvelle Calédonie et d’ailleurs.

    En outre, les chiffres officiels, par nature réalisés avec l’aval du gouvernement, ont une fiabilité relative en raison de leur dimension politique.

    8,5 millions de musulmans en France déjà en 2016

    L’expert des migrations Jean-Paul Gourévitch, moins réservé que son homologue Michèle Tribalat, a dressé un portrait assez net de la situation ethnique et religieuse de la démographie hexagonale. En 2016, il rapportait la présence en France de 8,5 millions de musulmans, pratiquants réguliers ou non (source). Soit 12% des 66 millions de personnes recensées dans le pays en 2016.

    Sur ces 8,5 millions de musulmans, environ 4 millions forment le socle des pratiquants dont 150,000 adhéreraient à l’islam radical. Un chiffre à mettre en perspective avec les 19,000 activistes proches du djihadisme recensés par le gouvernement français (source).

    Au moins 12 millions d’extra-Européens en France en 2017

    Point important à rappeler : tous les migrants extra-européens ne sont pas musulmans même si ces derniers en représentent la majorité. Nombre de migrants extra-européens sont également des sub-sahariens ou, plus marginalement, des asiatiques. Il faut donc recouper les chiffres disponibles pour avoir un panorama de la démographie non blanche en France, qu’elle soit musulmane ou non.

    Le nombre d’immigrés illégaux est évalué à 550,000 par Jean-Paul Gourévitch (source).

    Il faut ajouter le nombre des migrants de l’intérieur. En 2008, Jean-Paul Gourévitch évaluait entre 700,000 et 900,000 les migrants allogènes des DOM-TOM en métropole (source).

    Le nombre d’Asiatiques établis en France est généralement évalué à 1 million (source).

    Le nombre de migrants d’Afrique Noire non-musulmans – chrétiens ou animistes – est difficilement chiffrable même si le nombre de noirs était évalué, toutes origines confondues, à 3 millions en 2008 par Jean-Paul Gourévitch.

    La France compte donc au moins 11 millions d’extra-Européens dont 8,5 sont musulmans. Chiffre auquel il faut encore ajouter les subsahariens non-musulmans dont le nombre peut se situer entre 1 et 2 millions.

    L’augmentation de la population française exclusivement due à l’immigration

    La question que les lecteurs se poseront a trait à l’évolution future de la composition raciale du peuplement de l’Hexagone.

    C’est bel et bien l’immigration qui explique la croissance de la démographie française, laquelle est passée de 50 millions en 1970 à 67 millions en 2017 – malgré un taux de natalité officiel inférieur à 2, soit celui du simple maintien de la population.

    Puisque l’on sait qu’au début des années 70, la France comptait 1,3 millions d’extra-Européens en France (source) – ce qui était déjà énorme – on peut estimer que l’essentiel des 17 millions d’habitants supplémentaires qu’a reçu la France depuis 1975 sont d’origine immigrée dont une large part – les 12 millions d’extra-Européens précités – forment la majorité.

    Une fois cette composition raciale à l’esprit, on comprend que le dynamisme français repose essentiellement sur le natalisme des populations non-blanches.

    C’est le dépistage de la drépanocytose chez les nouveaux-nés en France qui en offre la meilleure indication. Celui-ci, limité aux asiatiques, africains et orientaux donne une idée assez précise du futur racial de la France.

    En 2016, près de 40% du total des naissances en France était d’origine extra-européenne. Cela représente 300,000 des 776,000 naissances qui ont été recensées en France (source).Tous les 3 ans, c’est donc près d’un million d’extra-Européens supplémentaires qui naissent en France quand le nombre de naissances européennes s’érode.

    30 millions d’extra-Européens en France en 2050

    Quatre facteurs permettent d’avoir une idée des évolutions futures.

    Premièrement, l’intensification de l’immigration extra-européenne, avec par exemple plus de 400,000 visas délivrés pour la seule Algérie depuis plusieurs années (source). Ce à quoi il faut ajouter l’immigration illégale.

    Deuxièmement, la faible natalité des autochtones qui permet, en termes relatifs, à la natalité non-blanche de croître proportionnellement.

    Troisièmement, le dynamisme démographique africain, maghrébin et turc en France.

    Quatrième, le départ des jeunes autochtones évalués à 86,000 par an (source). Une réalité d’autant plus dramatique qu’ils sont qualifiés et formés tandis que les nouveaux venus ne le sont pas.

    Sur la base des chiffres actuels, la France voit donc le nombre d’immigrés ou d’individus d’origine immigrés extra-européens augmenter de 600,000 environ par an quand, dans le même temps, le nombre de Français européens, notamment les jeunes, baisse de près de 90,000 par an.

    Sur dix ans, la France accueille 6 millions d’extra-Européens quand elle perd environ 900,000 Français de souche européenne.

    Dans 30 ans, au rythme actuel, la France de 2047 devrait compter  30 millions d’extra-Européens – 18 millions en plus des 12 millions actuels – pour 52 millions de Français de souche européenne. Ces derniers étant passés de 55 millions à 52 millions en raison de l’émigration blanche.

    Soit 36% du total.

    Pour ceux qui douteraient de cette possibilité, rappelons que sur 40 ans – entre 1975 et 2015 – le nombre d’extra-Européens est passé de 1,3 à 12 millions.

    21 millions de musulmans d’ici 2047

    Sur cette base, la France devrait être peuplée par 21 millions de musulmans, soit un peu plus du double de leur nombre actuel.

    Virtuellement, la France serait à majorité non-blanche d’ici à 2067 – 42 millions d’extra-Européens pour 42 millions de Français de souche européenne – et musulmane 30 ans plus tard, en sachant que leur nombre augmenterait de 4 millions tous les dix ans entre 2067 et 2097 et qu’ils seraient près de 30 millions dès 2067.

    Ces projections se basent bien sûr sur les tendances actuelles, tendances qui sont par définition changeantes. Mais la démographique africaine et musulmane, au 21ème siècle, ira en augmentant considérablement avec 4 milliards d’Africains d’ici à 2050...

     

  • Le Grand Orient de France s’érige en sentinelle de la République, pour encore plus d’immigration de grand remplacement !

     

    Que de sentinelles !

    Le 24 septembre 2014, Roger Cukierman, président du CRIF, déclarait au Figaro (qui en faisait le titre de l’entretien) : « Les Juifs sont les sentinelles de la démocratie et des valeurs de la République« ...

    Ce week-end, Philippe Foussier, Grand Maître du Grand Orient de France, signe une déclaration pompeuse intitulée « Le Grand Orient de France, sentinelle de la République« .

    Commentons ensemble quelques extraits significatifs de cette déclaration maçonnique.

    « Dans un monde en proie au chaos intellectuel et moral, dans un monde confronté à la résurgence des idéologies de la haine et défié par des fanatismes religieux qui tuent au nom de leur « vérité », dans ce monde, la réflexion et l’intervention des francs-maçons sont plus que jamais nécessaires. »

    Des fanatismes religieux qui tuent ? Lesquels ? Pourquoi ne pas les nommer ? Que l’on sache, aucun meurtre n’a été commis en 2017 au nom de la foi catholique…

    « Si, depuis l’instauration de la République et les grandes conquêtes laïques, démocratiques et sociales qui lui sont dues, la franc-maçonnerie a pu donner le sentiment d’un relatif assoupissement, alors, l’heure a sonné de son réveil et le temps est venu de la reprise de ses combats. »

    « (…) C’est l’humanisme universaliste, socle hérité du siècle des Lumières, qui est en péril. Il est menacé par la combinaison convergente d’idéologies qui, prônant l’exclusion, s’emploient à revenir à une société d’ordres où l’individu verrait son destin scellé à raison de sa naissance ou de ses origines. »

    « (…) La séparation du spirituel et du temporel est la pierre de touche de notre humanisme.
    Cette liberté précieuse, on le sait, a été chèrement conquise. Elle est aujourd’hui à nouveau vulnérable, et contestée. Si nous ne voulons pas, demain, en être privés, il est urgent d’en réaffirmer le principe.
    Or, face à ce principe, que voyons-nous ?

    Les questions religieuses reviennent en force dans le débat public, la pression cléricale retrouve une vigueur que l’on pouvait croire épuisée, le doute s’installe sur la légitimité de notre modèle républicain. »

    La Franc-maçonnerie promet donc la « reprise de ses combats ». Elle a de graves craintes. Lesquelles ? La vulnérabilité de la séparation du spirituel et du temporel et la pression cléricale, sans oublier le doute à l’égard de la légitimité du modèle républicain.  Diantre ! Les contre-révolutionnaires seraient donc aux portes du Pouvoir ?

    « (…) L’universalisme, notre « nouvelle frontière»
    Aux fins d’accomplir son objectif d’émancipation, la franc-maçonnerie, depuis trois siècles, met en suspens, en son sein, les catégories du monde profane. Il n’y a dans les Loges du Grand Orient de France aucune distinction fondée sur l’ethnie ou la couleur de peau, la classe sociale, la foi religieuse ou la non croyance, les origines biologiques ou géographiques. 
    (…) de toute part, ses adversaires lancent l’offensive. Ils sont, au choix, les différentialistes, les ethnicistes, les racialistes, les tenants du relativisme culturel. Ils essentialisent sans cesse. Ils pratiquent l’assignation identitaire à tel point que « l’identité » est leur mot fétiche.
    Il y a, bien sûr, parmi eux, les légions d’une extrême droite qui a toujours récusé l’universalisme car, pour elle, il y a des races, des ethnies, des couleurs de peau qui justifient une irréductible différence entre les êtres humains. »
    « (…) C’est cette même idéologie, désormais revendiquée par des fractions de la gauche et de l’extrême gauche, aimantées par les « Indigènes de la République », qui prétend justifier en France aujourd’hui la convocation à des « camps décoloniaux racisés» et, avec la caution, toute honte bue, d’universitaires et d’intellectuels, la tenue de colloques interdits aux Blancs ! Cela a lieu en France aujourd’hui.« 

    Amalgamés les patriotes et nationalistes à l’extrême gauche et aux racistes anti-Blancs, il fallait oser ! La franc-maçonnerie l’a fait.

    « (…) L’universalisme constitue le socle de notre culture commune, celle qui a été codifiée dans la Déclaration des droits de l’Homme de 1948. Si nous ne gagnons pas cette guerre des idées – dont les implications pratiques s’étalent sous nos yeux – alors, nous risquons d’être ensevelis sous l’ordre barbare. »

    « (…) L’universalisme est l’étoile polaire de la franc-maçonnerie. »

    Quelle mascarade ! La quantité d’attentats, de meurtres, de viols, d’agressions sexuelles, de vols avec violence, qui accompagnent l’immigration de grand remplacement, voilà bien l’ordre barbare à quoi nous conduit l’universalisme sans frontière de la franc-maçonnerie !

    S’il nous faut bien des sentinelles aujourd’hui, c’est précisément à nos frontières, pour mettre fin à cette immigration de grand remplacement !